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Decembre
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THE SPY WHO LOVED ME (L'espion qui m'aimait) 1977. Eon Productions. 125 mn. PanavisionTechnicolor. Prod. :Albert R-Broccoli. Réal. :Lewis Gilbert. Scé. : Christopher Wood et Richard Maibaum. Dir.Photo : Claude Renoir. Dir.art. : Ken Adam. Mus. : Marvin Hamlisch. Mont. :John Glen. Dir.Eff.Sp. : Derek Meddings. Générique :Maurice Binder. Photo Sous-marine : Lamar Boren. Dir : Artistes Associés. Sortie à Paris : 12 Octobre 1977. Int.:Roger Moore (James Bond), Barbara Bach (Major Anya Amasova), Curd Jurgens (Karl Stromberg), Richard Kiel (Jaws), Caroline Munro (Naomi), Walter Gotell (Général Gogol), Geoffrey Keen (le ministre de la Défense), Ber nard Lee ("M"), George Baker (Capitaine Benson), Bryan Marshall (Commandant Talbot), Michaël Billin ton (Sergei), Olga Bisera (Felicca), Desmony Llewelyn ("Q"), Edward De Souza (Cheik Hosein), Vernon Dobtcheff (Max Kalba), Valérie Leon (réceptionniste de 1 hô tel), Lois Maxwell (Miss Moneypenny), Sidney Tafler le capitaine du Liparus), Nadim Sawalha (Fekkesh) Sue Vanner (la fille dans le chalet autrichien), Félicie York, Dawn Rodrigues, Anika Pavel et Jill Goodal (les beautés arabes). Avec la participation d'un groupe folklorique égyptien. Le sujet ; Un sous-marin anglais, un autre russe, disparaissent. Londres et Moscou envoient leurs deux meilleurs agents. Péripéties et aventures les mènent jusqu'à Atlantis, la base sous-marine de Stromberg, dont ils devront affronter les Sbires et, en particulier le redoutable " Jaws ", l'homme au râtelier d'acier. Les notes : Le dixième Bond de la série et toujours des gadgets : une voiture amphibie, une montre télex, une cite sous marine, pour laquelle a été construit a Pinewood en Angleterre, le plus grand plateau en Europe, sinon du monde. Et humour habituel. Un fait étonnant et unique dans l'histoire des séries cinématographiques : Lewis Gilbert, conscient de l'usure de James Bond, restaure le mythe et présente comme neuf son produit de restauration. On revient aux recettes de construction éprouvées, aux personnages des premières bandes, aux décors à gros budgets. Rien de nouveau, mais les résultats dépassent les espérances. Une affluence record, une diffusion impressionnante (135 copies pour inonder le marché français), une publicité énorme. L'espion qui m'aimait remet James Bond sur les rails de la réussite et de la longévité. Un mythe qui se survit de 1962 à 1979, voilà qui est unique. Le meilleur Moore de la série. Avec la première apparition de Richard Kiel et sa dentition d'acier. Le ton a changé, mais ce que l'on perd en action on le gagne en humour.