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Septembre
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GOLDFINGER Origine Grande Bretagne 1964 DUREE CINEMA : 112mn Couleur. GENRE: Aventures. Eon Productions Technicolor Réalisation :Guy Hamilton SCENARIO: Richard Mailbaum Paul Delm d'après le roman de lu Fleming Prod. : Harry Saltzman et Albert R. Broccoli.. Dir. Photo : Ted Moore. Mus. :John Barry. Chanson interprétée par Shirley Bassey. Paroles de Leslie Bricusse et Anthony Newley. Dir.art. :Peter Murton. Mont. : Peter Hunt. Générique : Robert Brownjohn Eff.sp. : John Stears et Frank George. Dist. :Artistes Associés. MUSIQUE: John Barry INTERPRETES: Sean Connery (James Bond), Gert Fröbe (Auric Goldfinger ), Honor Blackman (Pussy Galore), Shirley Eaton (Jill Masterson) ), Tania Mallet (Tilly Masterson), Harold Sakata (Oddjob), Bernard Lee ("M."), Martin Benson (Solo), Cec Linder ( elix Leiter), Sujet - Ayant pour mission d'enquêter sur les activités suspectes d'Auric Goldfinger un des hommes lu plus riches du monde James Bond séduit sa secrétaire, Jill Masterson, qui lui ide la manière dont Goldfinger triche aux cartes. Soupçonné d'avoir puisé dans les réserves d'or de la banque d'Angleterre, Cold6q" est aussi un redoutable criminel. C'est en l'enduisant d'une couche de peinture d'or qu'il se débarrasse de son " indélicate a secrétaire. Avec son Aston Martin équipée de gadgets, James Bond se rend en Suisse où il est capturé par Oddjob, un garde du corps de Goldfinger Ce dernier décide de le garder en vie afin de se consacrer au grand coup de sa carrière : la contamination par radiations atomiques des réserves d'or de Fort. Knox... Notes : Le mythe à son apogée. Dans un film construit sur l'obsession de la couleur dorée, James Bond est au sommet de son charme désinvolte et de sa puissance virile. C'est aussi le triomphe du gadget, prolongement désormais inévitable de son personnage. On se souvient de la fabuleuse. Aston Martin DB5, avec pare-chocs repoussoirs, rétroviseur radar, écran radar sur tableau de bord, feu arrière qui projette de l'huile ou de la fumée noire, phares mitrailleuses, siège éjectable catadioptre lanceur de clous et téléphone codé Les structures du récit sont maintenant bien au point et collent parfaitement à l'épisode écrit par Fleming. Le climat de Science-Fiction inauguré dans Docteur No s'accentue singulièrement, avec menace atomique, laboratoire impressionnant, rayon de la mort et alchimie moderne. Un manichéisme sommaire oppose l'invulnérable sauveur du monde occidental et le Démiurge fortuné qui dispose d'une impressionnante armée de techniciens robots. Le meurtre se fait dans la joie et le sadisme devient humour.