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Septembre
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KARATE KID I Durée du film : 2 h 07 35 mm - couleurs Version originale sous-titrée - 1984 Distribué en France par Warner-Columbia Réalisateur John G.AVILDSEN Scénario Robert Mark KAMEN Directeur de la photographie James CRABE Montage Bud SMITH Walt MULCONERY J.G.AVILDSEN Musique Bill CONTI Interprètes principaux Ralph MACCIO Noriyuki " Pat " MORITA Elisabeth SHUE Martin KOVE Randee HELLER William ZABKA Ron THOMAS sujet: Est-ce parce qu'il vient du Texas et qu'il n'est pas " Californien " ? Le jeune Daniel Larusso est devenu, en quelques semaines, la tête de turc de ses camarades de classe. Pas un match " amical " dont il ne ressorte couvert de bleus. Pas une plage, pas un chemin, où il soit en sécurité : partout la bande de Johnny le traque, le malmène et bien pire le ridiculise devant la charmante Ali qui lui témoigne une affection certaine. Alors, Daniel se fâche : il entreprend, avec l'aide d'un manuel, l'apprentissage du karaté. Puis il court s'inscrire dans la seule école de la ville... où il tombe sur Johnny et ses acolytes, qui s'entraînent sous la férule d'un professeur patibulaire. La nuit du Mardi-Gras, pour une blague stupide, Daniel est passé à tabac par la meute haineuse de ses petits camarades. C'est alors qu'un petit homme d'une cinquantaine d'années surgit. A la stupéfaction générale, ce voisin japonais tranquille et en apparence inoffensif se déchaîne : en quelques manchettes, il met les jeunes gens hors de combat. Fasciné par cette démonstration de force, Daniel supplie Monsieur Miyagi de l'accepter comme disciple. De l'aider à se venger de ses ennemis. Mais Miyagi refuse de participer à une revanche. Il ne lui enseignera les gestes de défense qu'après lui avoir transmis une connaissance toute spirituelle... NOTES:" KARATE KID contient tous les éléments que j'apprécie moi-même en tant que spectateur. Un héros un peu malingre qui finit par emporter la bataille et écraser son ennemi. Une relation affective complexe et forte entre un adolescent à problèmes et un homme plus âgé, plus sage et d'une culture différente. Enfin, une histoire d'amour tendre et romantique ". John G. AVILDSEN , Né à Chicago, John Avildsen a tout d'abord suivi la filière classique de l'assistanat (entre autres sur MICKEY ONE de Penn et HURRY SUNDOWN de Preminger), tout en réalisant des courts-métrages. Il dirige ensuite un nombre imposant de films publicitaires, avant de mettre en scène son premier long-métrage en 1969. Filmographie : 1969 : TURN ON TO LOVE SWEET DREAMS 1970: GUESS WHA T WE LEARNED IN SCHOOL TODA Y? JOE 1971: OKA Y BILL CRY UNCLE 1972 THE STOOLIE 1973 SAVE THE TIGER 1975: W. W. AND THE DIXIE DANCEKINGS FOREPLA Y 1976: ROCKY (Oscar de la meilleure mise en scène) 1978: SL 0 W DANCING IN THE BIG CITY 1979 : THE FORMULA 1980: NEIGHROURS 1984: THE KARA TE KID
v.o.
Sylviane