-=
Sommaire
=-**** -=
Photos
=- -=
Avril
=-
La Ligne verte Réalisateur Frank Darabont Scénariste Frank Darabont Producteur Frank Darabont ; David Valdes D'après l'oeuvre de Stephen King Production Castle Rock Entertainment, U.S.A. ; Warner Bros., U.S.A. Compositeur Thomas Newman Directeur de la photographie David Tattersall Monteur Richard Francis-Bruce Distribution United International Pictures (UIP), France Acteur(s): Paul Edgecomb Tom Hanks Brutus Howell David Morse Burt Hammersmith Gary Sinise Jan Edgecomb Bonnie Hunt Warden Hal Moores James Cromwell John Coffey Michael Clarke Duncan Eduard 'Del' Delacroix Michael Jeter Percy Wetmore Doug Hutchinson William 'Wild Bill' Wharton Sam Rockwell Toot-Toot Harry Dean Stanton Arlen Bitterbuck Graham Greene (II) Dean Stanton Barry Pepper Synopsis Paul Edgecomb, pensionnaire centenaire d'une maison de retraite, est hanté par ses souvenirs. Gardien-chef du pénitencier de Cold Mountain en 1935, il était chargé de veiller au bon déroulement des exécutions capitales en s'efforcant d'adoucir les derniers moments des condamnés. Parmi eux se trouvait un colosse du nom de John Coffey, accusé du viol et du meurtre de deux fillettes. Intrigué par cet homme candide et timide aux dons magiques, Edgecomb va tisser avec lui des liens très forts. Secrets de tournage: Michael Clarke Duncan (John Coffey) : Doté d'un physique hors-normes (2,10 m pour 165 kg), Michael Clarke Duncan est apparu aux côtés de Bruce Willis dans Armageddon (Michael Bay,1998) et dans Breakfast Club (Alan Rudolph, 1999). Il a également joué dans Une Nuit au Roxbury (John Fortenberry et Peter Markle, 1998). En 2000, Michael Clarke Duncan est à l'affiche de Bullworth (de Warren Beatty) et de The Whole Nine Yards (de Jonathan Lynn). James Cromwell (le directeur Hal Moores) : Outre sa prestation dans Babe (Chris Noonan, 1995) et Babe-Le Cochon dans la Ville (George Miller, 1998), James Cromwell est notamment apparu dans Romeo is Bleeding (Peter Medak, 1993), L'Effaceur (Chuck Russell, 1996), Larry Flynt (Milos Forman, 1996) et L.A. Confidential (Curtis Hanson, 1997). David Morse (Brutus «Brutal» Howell) : Les amateurs de thrillers ont pu apprécier ses prestations dans Desperate Hours (Michael Cimino, 1990), Guet-Apens (Roger Donaldson, 1994), The Crossing Guard (Sean Penn, 1995), Au Revoir, à Jamais (Renny Harlin, 1996), Rock (Michael Bay, id.) et Mesures D'Urgence (Michael Apted, id.). David Morse a pu également retenir l'attention des inconditionnels de science-fiction, puisqu'il est apparu dans L'Armée des Douze Singes (Terry Gilliam, 1995) et Contact (Robert Zemeckis, 1997). Terence Marsh, chef décorateur : Cet ancien directeur artistique a signé les décors de Terreur sur le Britannic (Richard Lester, 1974), Le Piège (John Huston, 1973), Absence de Malice (Sydney Pollack, 1981), Havana (id., 1990), Basic Instinct (Paul Verhoeven, 1992) et Danger Immédiat (Phillip Noyce, 1994). Terence Marsh a également été chargé de l'élaboration des décors des Evadés (Frank Darabont, 1994) et du Témoin du Mal (Gregory Hoblit, 1998). Une réalité recréée en studio : Frank Darabont souhaitait un décor à mi-chemin entre la réalité et la fantasmagorie. Pour répondre aux attentes du réalisateur, le chef décorateur, Terence Marsh, s'est inspiré de l'ancien pénitencier d'Etat du Tennessee. Ce lieu, sombre et exigu, a servi de décor à La Dernière Marche de Bruce Beresford. Terence Marsh a ensuite recréé l'ensemble en studio, y apportant la touche de mystère et de mysticisme que recherchait Frank Darabont. Frank Darabont, réalisateur : Réalisateur de deux téléfilms et d'un court métrage, Frank Darabont a mis en scène Les Evadés en 1994. Il réalise, avec La Ligne Verte son deuxième long métrage. Par ailleurs, Frank Darabont est scénariste. Il a signé les scripts de The Blob (Chuck Russell, 1988) et de Frankestein (Kenneth Branagh, 1994), ainsi que ceux de ses deux longs métrages. Stephen King compare Les Evadés et La ligne Verte : Les Evadés, tout comme La Ligne Verte, est adapté d'un roman de Stephen King. «Pour l'écrivain, The Shawshank Redemption (Les Evadés) était (...) une histoire plus optimiste. Celle-ci se rapproche de mes contes étranges. Mais on y trouve aussi l'idée que l'esprit humain est susceptible de triompher des rudes épreuves, et même d'être stimulé par elles. »