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Le Pacte des loups Réalisateur Christophe Gans Scénariste Stéphane Cabel Producteur Samuel Hadida Richard Grandpierre Exportation/Distribution internationale StudioCanal, France Production StudioCanal, France David Films, France TF1 Films Production, France Distribution Metropolitan FilmExport, France Acteur(s) Samuel Le Bihan Grégoire De Fronsac Mark Dacascos Mani Emilie Dequenne Marianne de Morangias Vincent Cassel Jean-François de Morangias Monica Bellucci Sylvia Jérémie Renier le Marquis Thomas d'Apcher Jean Yanne le comte de Morangias Jean-François Stévenin Henri Sardis Jacques Perrin Thomas d'Apcher âgé Johan Leysen Antoine de Beauterne Bernard Farcy Laffont Edith Scob Madame de Morangias Hans Meyer le marquis d'Apcher Virginie Darmon La Bavarde Philippe Nahon Jean Chastel Nicky Naude La Fêlure Daniel Herroin Blondin Eric Prat capitaine Duhamel Jean-Loup Wolff le duc de Moncan Jean-Paul Farré père Georges André Penvern Buffon Bernard Fresson Mercier Franckie Pain (Frankye Pain) La Tessier Nicolas Vaude Maxime Des Forêts François Hadji-Lazaro Machemort Karin Kriström la bergère du Rocher Christelle Droy la bergère des collines Delphine Hivernet Valentine Juliette Lamboley Cécile Eric Delcourt l'aide-camp de Beauterne Charles Maquignon le valet Bordel Nadine Marcovici Jeanne Roulier Gaspard Ulliel Louis Equipe Technique Compositeur Joseph LoDuca 1er assistant réalisateur Lionel Steketee Dialoguiste Stéphane Cabel Directeur de la photographie Dan Laustsen Ingénieur du son Jean-Paul Mugel Costumière Séverine Demaret Jean-Daniel Vuillermoz Maquilleur Didier Lavergne Frédérique Ney Directeur du casting Nathalie Cheron Script Claudine Strasser Bruiteur Nicolas Becker Monteur David Wu Sébastien Prangère Effets spéciaux Arthur Windus Val Wardlaw Georges Demetrau Cadreurs Jean-Paul Meurisse Kevin Jewison Philippe Houdart Michel Rodas Chef décorateur Guy Claude François Synopsis Inspiré par des fait réels survenus sous le règne de Louis XV, "Le Pacte des Loups" revisite l’un des rares mythes français: celui de la "Bête du Gévaudan" qui tua plus d’une centaine de personnes avant d’être abattu dans des circonstances mystérieuses. Voilà déjà deux ans qu’une bête monstrueuse terrorise la région du Gévaudan, s’attaquant de préférence aux femmes et aux enfants. On évoque un loup de taille colossale, voire un dragon. On parle même du diable. Et c’est la France toute entière, jusqu’à la cour de Louis XV, qui vit désormais au rythme de ces crimes inexpliquables. Délégué par le Jardin du Roi, le chevalier Grégoire de Fronsac arrive en Gévaudan un soir d’automne. Sa mission : dresser le portrait de cette hydre féroce et, éventuellement, la naturaliser après la chasse. Bel esprit, frivole et rationnel, le jeune noble est accompagné par le taciturne Mani, un indien Mohawk rencontré en Nouvelle-France durant la guerre de sept ans. Tous deux s’installent chez le vieux Marquis D’Apcher dont le petit-fils, Thomas, se fait fort de leur servir de guide dans les campagnes comme dans les salons. Au cours d’une soirée donnée en son honneur, Fronsac rencontre Marianne De Morangias ainsi que son frère Jean-François, héritiers de la plus influente famille du pays. Voyageur lui aussi, Jean-François a perdu un bras lors de grandes chasses en Afrique... Tandis que les attaques du monstre se multiplient, favorisées par l’arrivée de l’hiver, Fronsac se heurte à l’animosité à peine voilée des personnages influents de la région. Son interêt grandissant pour Marianne et sa liaison avec Sylvia, somptueuse mais inquiétante putain, n’arrangent guère les choses. D’autant que le roi, mécontent devant l’absence de résultats des nombreuses battues, décide d’envoyer son propre lieutenant des chasses Antoine de Beauterne. A peine débarqué en Gévaudan, ce dernier abat un loup et prétend fièrement avoir tué la bête. Sur ordre du Roi, Fronsac est contraint de participer à cette manipulation avant de rentrer à Paris. Bravant l’interdiction du roi de retourner en Gévaudan, le chevalier décide de répondre à l’appel de Thomas D’Apcher qui lui demande d’organiser une dernière chasse. Cette fois, Mani va mener la traque, faisant appel à d’anciennes techniques chamaniques. Mais rien ne les prépare à ce qu’ils vont découvrir... Anecdotes Émilie Dequenne et Jérémie Rénier … ils ont en commun d’avoir joué dans un film de Luc et Jean-Pierre Dardenne. Rosetta pour Emilie, La promesse pour Jérémie. Mark Dacascos à propos de son rôle : "Au delà des scènes d’action dans lesquelles le public à l’habitude de me voir, mon challenge en tant que comédien était que j’avais très peu de dialogues sur lesquels m’appuyer. J’ai donc beaucoup travaillé l’expression corporelle, les attitudes, pour donner à mon personnage une personnalité sensible" Mark Dacascos (Mani) : Initié très tôt par ses parents aux arts martiaux, Mark Dacascos a été champion d’Italie et d’Europe de kung fu dans la catégorie poids moyen de 1980 à 1982. Puis il s’oriente vers le cinéma et enchaîne Only the Strong (1994), Double Dragon (1994), Crying Freeman (1996) et L’Ile du Dr Moreau (1996). C’est son deuxième film sous la direction de Christophe Gans, après Crying freeman. Émilie Dequenne à propos de son personnage : "La première raison pour laquelle j’ai accepté le rôle de Marianne dans Le Pacte de loups vient du fait que le projet était radicalement différent de Rosetta. Par le contexte, l’époque et aussi l’aspect spectaculaire, presque démesuré de l’histoire. J’aime Marianne parce qu’elle est très moderne. Elle est victime de son temps, une époque où l’on décidait du destin des jeunes filles à leur place. Mais elle refuse de se laisser faire. J’aime le regard clair qu’elle porte sur sa propre famille et sur son époque". Émilie Dequenne (Marianne de Morangias) : Elle a été révélée en 1999, par Rosetta, des frères Dardenne, Palme d’or du Festival de Cannes. Émilie Dequenne y a obtenu le Prix d’interprétation (ex-aequo avec Séverine Caneele pour L’humanité de Bruno Dumont) Les faits, la légende : Le monstre est probablement le lozérien le plus célèbre. La bête ne sévit que 3 ans en Lozère, de 1764 à 1767 , mais fit plus de 100 victimes, pour la plupart des femmes et des enfants. Les attaques devaient s'amplifier jusqu'à donner à cette affaire une dimension nationale. Les autorités locales demandèrent la permission d'attrouper les gens en arme. La Cour se voit informée; des groupements de chasseurs se créent, des battues s'organisent, mais toutes les actions entreprises restent vaines En septembre 1765, Antoine de Beauterre abat un grand Loup. Les attaques cessent alors et le pays se croit délivré. Mais en 1766, les morts se succèdent à nouveau. Le monstre fut finalement abattu le 18 juin 1767 par Jean Chastel lors d'une battue organisée par le marquis d’Apcher. Christophe Gans à propos du Pacte des loups « L'histoire de la Bête du Gévaudan est une histoire que je connais dans la mesure où les parents m'en parlaient quand j'étais gosse. Je me souviens même d'un téléfilm pseudo-documentaire en noir et blanc dans les années 60 que j'avais regardé. Donc, je connaissais très bien de quoi il s'agissait. Il se trouve que si on regarde attentivement Crying freeman,on se rend compte que même si c'est un film contemporain sur les gangsters, son traitement est celui d'un film d'époque. C'est en fait un film en costume camouflé en film de gangsters. Donc l'idée de faire un film en costumes n'était pas du tout étrangère à mon inspiration, ni à ce que j'aimais. C'est ça qui m'a tout de suite attiré, que je pouvais enfin faire un film en costumes avec des scènes de combat à l'arme blanche sans pour autant passer par le registre asiatique. » (extrait du dossier de presse)
Sylviane